Edito en mars, festival en juillet

ChristianParce qu’on s’y prend à l’avance pour la com. Mais il peut s’en passer des choses… Souvenez-vous de 2020, édito en mars… On oublie, on y va, on y croit.

D’abord, notre association a 20 ans. Pas envie de faire des statistiques sur le nombre de concerts, de musiciens, sur les tonnes de frites ou les hectolitres de bière.
Juste des prénoms qui nous reviennent : Jeanne, China, Carla, Lisa, Mélanie, Petra, Françoise et tant d’autres. Pierre, David, Thur, Kirk, Bojan, Emile, Vincent, Bruno, Laurent et tant et tant d’autres.
Bien sûr les prénoms des potes de l’équipe, toujours là, toujours ! Quelques prénoms aussi qui nous manquent.

Des bruits, les notes bien sûr, les silences qui les portent, le crépitement des applaudissements.
Des salles combles, les spectateurs debout, les salles trop vides.
La fournaise du NEST, les pannes d’électricité sous chapiteau, le pianiste qui tombe de scène.
Les réunions, rencontres, démarches.
Les spectateurs, les adhérents, les fonctionnaires, les partenaires, les élus.

Les grands éclats de rires, les ratés, les réussites, les retards de trains, d’avions, les coups de gueules, les coups de blues, les coups à boire. Une simple histoire de femmes et d’hommes, une simple histoire de rencontres.
Une envie de faire ensemble la même chose au même moment, au même endroit.

Bon, il faut quand même évoquer le festival de cette année, avec les Truffaz, Parisien et…
Mais voilà, plus de place !
Tant pis.
Faudra lire la suite du programme…

Christian

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