SOIREE « LAUREATS DU TREMPLIN JAZZ MIGRATION »

Armel Dupas (piano), Kenny Ruby (basse, synthés), Mathieu Penot (batterie, synthés)

Avec un style affirmé électro-acoustique, le nouveau trio d’Armel Dupas sculpte le son, transforme le vécu en mélodie et métamorphose son ressenti sur l’actualité en couleurs sonores. Les compositions entre “ambiant music“ et “rock progressif”, offrent une large place aux synthétiseurs analogiques pilotés par Mathieu Penot et Kenny Ruby, respectivement batteur et bassiste du trio.

Alain Pierre (guitares – compositions & arrangements), Antoine Pierre (batterie), Jens Düppe (batterie), Fil Caporali (contrebasse), Barbara Wiernik (voix), Bo Van Der Werf (saxophone baryton), Toine Thys (saxophones, clarinette), Pierre Bernard (flûtes)

C’est devenu coutume au festival que d’offrir une carte blanche à un artiste de la région. Et comme à JazzPote on a décidé d’oublier les frontières, nous avons invité Alain Pierre, guitariste belge, compositeur et arrangeur. Pour cette Carte Blanche, Alain Pierre présentera ses compositions dans une formule tout à fait inédite et inhabituelle.

Guitariste qui dans ses projets a toujours intégré les guitares acoustiques à 6 et, phénomène rare en jazz, à 12 cordes, Alain Pierre a toujours privilégié les formules atypiques. C’est donc à nouveau le cas !

Il réunira des musiciens avec lesquels il a l’habitude de jouer dans différents projets réguliers ou ponctuels pour créer un groupe aux textures sonores singulières.

Bruno Tocanne (batterie), Sophia Domancich (piano, claviers), Antoine Läng (voix, effets), Rémi Gaudillat (trompette)

Bien au-delà de toutes étiquettes identifiables… Entre jazz, rock et rêverie psychédélique, « Sea Song(e)s » est une expérience imaginée à partir de l’œuvre de Robert Wyatt, icône intemporelle des grandes heures progressives anglaises. Autour du batteur Bruno Tocanne, s’unissent les claviers de Sophia Domancich, la trompette de Rémi Gaudillat complétés par le chant et les multiples effets sonores d’Antoine Läng, entre jazz, rock et rêverie psychédélique.
Coup de cœur également des Inrocks, ce quartet nous propose l’une des touches les plus singulières de ce festival qui aime à se promener partout là où le jazz veut l’emmener.

Macha GHARIBIAN (piano, voix), Matyas SZANDAÏ (contrebasse), Dré PALLEMAERTS (batterie), David POTAUX-RAZEL (guitare)

Chanteuse, pianiste, auteure, compositrice : sa musique jazz folk pop élégante a vu le jour entre Paris, New York et Erevan. Pianiste au toucher délicat, de solide formation classique, diplômée de l’Ecole Normale de Musique de Paris, c’est en quittant la France pour New York en 2005 que Macha Gharibian se révèle à elle-même. Guidée par Ralph Alessi, Uri Caine, Jason Moran, Ravi Coltrane à la School for Improvisational Music, elle commence à écrire et créer son univers, une musique construite par ses voyages, ses désirs, ses racines et tout ce qui a fait grandir la jeune femme partagée entre trois cultures : arménienne de ses ancêtres, parisienne de cœur et new-yorkaise d’adoption.

Hasse POULSEN (guitare), Peter CORSER (saxophone, clarinette, voix) Johan DALGAARD (piano, claviers)

Hasse Poulsen, l’un des trois protagonistes du célèbre trio Das Kapital (Jazzpote 2013) nous revient donc dans une proposition, qui a été qualifiée par la critique de véritable claque.

Ce trio SighFire a été constitué en 2015 autour de trois sujets principaux la musique répétitive qu’on trouve dans les compositions de Peter Corser (Purple Feathers, Greenwash, Stop the Clock) – l’improvisation libre et minimaliste qu’on retrouve dans Inner Future – et enfin le chant.
Il y a les influences et des solos qui viennent clairement du jazz, il y a la voix de Peter Corser qui évoque le rock progressif de John Cale, il y a les chants arabes qui pointent vers une musique world. Mais, malgré l’éclectisme apparent du répertoire il y a une cohérence: ceci est le son du SighFire que nous aurons plaisir à découvrir ce vendredi de juin.