Lisa-Cat-Berro
Lisa Cat-Berro (Saxophone / Chant), Louise Thiolon, Julien Omé (Guitares et chœur), Stéphane Decolly (Basse), Nicolas Larmignat (Batterie).

Si le nouvel album de Lisa Cat-Berro est une très belle surprise pour Jazz Magazine, qui, comme bien d’autres médias, ne tarit pas d’éloges sur cette saxophoniste, chanteuse, arrangeuse et compositrice, ce n’en est pas une pour Jazzpote, qui s’est accroché aux notes de Lisa depuis plusieurs années. Mais il faut quand même concéder que la « surprise » vient d’une Lisa chanteuse, qu’on connaissait peu, et, qui, sur ce registre, atteint la même plénitude que sur son alto.
Ainsi vont s’alterner deux voix, soutenues par de fidèles partenaires pour servir à merveille ce nouveau répertoire. « Good days, Bad days ! Ok Lisa, mais surely good evening for us !

Pierre-de-Bethmann
Pierre de Bethmann (Piano / Compositions), David El Malek (Saxophone), Tony Rabeson, Antoine Paganotti (Batteries), Sylvain Romano, Simon Tailleu (Contrebasses), Nelson Veras (Guitare).

Pierre de Bethmann !
Voici ce qu’en dit Jean-François Mondot, de Jazz Magazine :
« Ce maître des ruptures semble se méfier de tout ce qui peut ressembler à une autoroute, voire de tout ce qui est rectiligne.
Il ondoie, contourne, bifurque. Il accueille le hasard et l’accident. »
Sans aucun doute, ce surdoué du clavier est aussi l’un des compositeurs les plus originaux de la scène française.
Fidèle compagnon de Jazzpote, il nous revient, entouré de musiciens prestigieux qui vont donner vie à quelques-uns de ses mille et un projets.
Pour cette soirée, qui lui est consacrée, il a choisi de nous présenter une pièce en quatre actes, imaginée, écrite, montée pour notre festival. Mais qui sait, avec lui, on n’est pas à l’abri d’un cinquième acte ou d’une nouveauté balayée aussitôt par une nouvelle nouveauté.
Le mieux est encore de lui laisser « carte blanche »

… c’est ce qu’on a fait.

Ray-Lema-et-Laurent-de-Wilde-
Ray Lema, Laurent de Wilde (Pianos)

Deux figures emblématiques du jazz nous présentent leur nouveau répertoire après quatre années passées sur les routes.
Les roues dentées s’emboîtant pour faire tourner une mécanique de précision : voici le modèle qu’ils se sont donnés pour leur deuxième opus.

Ces fameuses roues rythmiques au centre de leurs préoccupations, ils ont des semaines durant travaillé sur cet idéal de parfaite complémentarité, mettant cette discipline au service de leurs compositions d’un large spectre.

« Le piano à quatre mains comme un appel d’air, une bouffée d’oxygène, une séduisante échappée belle » – Sélection Le Monde.
Deux pianos sur le plateau, deux virtuoses… magnifique proposition pour clore cette deuxième soirée au Théâtre.
Choc Jazz Magazine 2021.

Daida
Vincent Tortiller (Batterie), Arnaud Casenave (Trompette), Samuel Fhima (Contrebasse), Antonin Fresson (Guitare), Oxane Cartigny (Claviers).

Daïda propose des voyages musicaux mâtinés d’onirisme ou de nostalgie, à l’image d’une grande épopée. Portée par cette énergie, la musique de Daïda prend source dans les rythmiques effrénées, qui flirtent avec la transe des musiques techno, se mélange aux thèmes et harmonies lyriques au gré des envolées des solistes.
Épique, la formation emmenée par Vincent Tortiller, distille un jazz électrique et progressif.
Heureux d’accueillir cette bande de jeunes sur la scène du théâtre de Thionville !
Ce groupe est lauréat 2021 du prestigieux tremplin de la Défense.

Cuvillon

1ère partie : La Part d’Euterpe

Michaël Cuvillon (Saxophone alto / Composition) , Sébastien Maire (Contrebasse), Jean-Marc Robin (Batterie), et l’Union de Woippy dirigée par Olivier Jansen.

Cette pièce concertante en 5 parties et d’une durée d’environ 40 minutes s’inscrit dans une idée d’un jazz qui se veut d’aujourd’hui, laissant une place à l’improvisation et l’interaction tout en valorisant les modes de jeu traditionnels de l’orchestre d’harmonie du point de vue des équilibres, du travail du timbre tout en proposant une ouverture sur l’idiome « Jazz » en abordant certaines de ses spécificités telles que le rythme et la richesse des harmonies.

2ème partie : Patrice Lerech/ Michaël Cuvillon 4tet feat. Benoît Sourisse & André Charlier.

Michael Cuvillon (Saxophone alto), Patrice Lerech (Trompette), Benoît Sourisse (Orgue), André Charlier (Batterie).

Cela fait 25 ans que Patrice Lerech et Michaël Cuvillon partagent
la scène ensemble, avec l’Orchestre régional de jazz en Lorraine, l’Orchestre national de jazz du Luxembourg ou le Big Band Mister Oz pour ne citer que quelques aventures parmi toutes celles qu’ils ont partagées avec une foule d’artistes d’horizons variés.
Aujourd’hui, ils développent leur propre groupe, explorant un jazz qui puise son inspiration dans la tradition sans s’y enfermer.
Rejoints par un duo qui marque le jazz hexagonal de son énergie et de sa générosité depuis deux décennies, celui d’André Charlier et Benoît Sourisse, ils forment un quartet d’exception qui est aussi une affaire d’amitiés et de sincérité.

Des mots qui nous vont bien !