Valérie Graschaire (voix), Franck Agulhon (batterie), Jean-Yves Jung (orgue)
Avec « Once Upon a Town », la chanteuse Valérie Graschaire s’est entourée de Jean-Yves Jung à l’orgue et de Franck Agulhon à la batterie. Le répertoire emprunté à divers univers nous emmène dans un voyage autour du monde qui passe par des villes aux couleurs variées…
Once Upon a Town
Big band du conservatoire de jazz de Thionville, Frédéric Borey (saxophone)
Le Big Band de Thionville a choisi pour notre plaisir de présenter son projet de 2016 autour de l’écriture de Michael Cuvillon, et il accueillera en son sein le grand saxophoniste Frédéric Borey, que l’on connaît bien à Jazzpote.
Anne Quillier Rhodes Moog, Pierre Horckmans clarinette basse
Watchdog c’est le reflet sonore de nos sociétés ultra surveillées, de ces machines autocontrôlées qui prennent peu à peu le pas sur l’être humain dans un monde où tout s’accélère.
Une deuxième chance pour celles et ceux qui n’auront pas pu se rendre à Longlaville, ou pour celles et ceux qui seront devenus fans.
Lauréat jazz migration 2016
Wachdog : You’re welcome
Henri Texier (contrebasse), Sébastien Texier (saxophone alto, clarinettes), François Corneloup (saxophone baryton), Louis Moutin (batterie)
Henri Texier est tout bonnement le « parrain » du jazz français, celui autour de qui tous les courants, toutes les familles, viennent naturellement se fédérer. La complémentarité entre Sébastien Texier et François Corneloup saute aux oreilles, et le jeu de Louis Moutin se glisse naturellement dans ses nouveaux habits. Henri Texier, comme toujours, rayonne ; on vibre à l’écoute de son chant et de ses mélodies hantées par les musiques qu’il relate avec fièvre. Un grand moment au Jazzpote
Prix académie Charles Cros 2016, pour l’ensemble de sa carrière.
Henri Texier Hope Quartet : At l’improviste
Emile Parisien (saxophones), Joachim Kühn (piano), Manu Codjia (guitare), Simon Tailleu (basse), Mario Costa (batterie)
L’attention est entretenue aussi bien par la qualité des thèmes que par l’intelligence des arrangements ou la brillance des solistes. Sur les plans collectif et individuel il y a là une ferveur, un engagement de tous les instants. Entre épisodes enlevés et suspensions, matières orchestrales abondantes et passages épurés, fièvre et sensibilité, tout est à retenir de ce « Sfumato » qui n’est pas un virage puisque jamais la générosité n’a fait défaut, mais un nouvel éclairage. Vous serez éblouis.
Sfumato, choc Jazz Magazine 2016
Frédéric Borey ‘WINK’
